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Le Vatican Information Service (VIS) est un service d'information de la Salle-de-Presse du Saint-Siège. Il propose des informations sur le Magistère et l'activité pastorale du Saint-Père et de la Curie Romaine... []

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mercredi 12 octobre 2005

QUATORZIEME CONGREGATION GENERALE

CITE DU VATICAN, 11 OCT 2005 (VIS). La quatorzième Congrégation générale de la XI assemblée générale ordinaire du Synode des Evêques s'est ouverte à 16 h 30' sous la présidence du Cardinal Juan Sandoval Iñiguez. Avant les interventions de certains Pères synodaux, se sont exprimés les Délégués des Eglises et autres confessions invitées.

A l'ouverture des travaux, le Secrétaire général du Synode a rappelé que c'est aujourd'hui le 43 anniversaire de l'ouverture du Concile Vatican II et la mémoire liturgique du bienheureux Jean XXIII.

Voici des extraits de certaines interventions:

MGR.ZIZIOULAS JOHANNIS, Métropolite orthodoxe de Pergame. "C'est un grand honneur pour moi de m'adresser à ce vénérable Synode des Evêques et de lui apporter les salutations fraternelles et les meilleurs voeux de la part du Patriarche oecuménique Barthélémy Ier et de l'Eglise de Constantinople. L'invitation d'envoyer un délégué fraternel à ce Synode faite à notre Eglise est un geste d'une grande importance oecuménique. Nous y répondons avec gratitude et amour. Nous, les orthodoxes, sommes profondément gratifiés par le fait que votre Synode considère, lui aussi, l'Eucharistie comme la source et le sommet de la vie et de la mission de l'Eglise. Il est de la plus haute importance que les catholiques romains et les orthodoxes puissent le dire d'une seule voix. Il existe peut-être encore certaines choses qui séparent nos deux Eglises, mais nous croyons, ensemble, que l'Eucharistie est le coeur de l'Eglise. C'est sur cette base que nous pouvons poursuivre le dialogue théologique officiel entre nos deux Eglises, qui entre maintenant dans une nouvelle phase. L'ecclésiologie eucharistique peut nous guider dans nos efforts pour surmonter mille années de séparation. Aussi, il est dommage d'avoir la même conviction sur l'importance de l'Eucharistie mais de ne pas être capable de la partager à la même Table".

LE REV.PHILIP VASYLTSEV, du Patriarcat de Moscou et de toutes les Russies. "L'Eucharistie est au centre de la vie de l'Eglise, et de celle de chaque chrétien. C'est pourquoi l'affaiblissement de la conscience eucharistique mène à une baisse de la conscience ecclésiale, à un déplacement des accents, et à des erreurs dans la compréhension des valeurs chrétiennes... Nous serions très heureux si notre expérience, historique et actuelle, de la vie eucharistique pouvait être utile et aider l'Eglise catholique romaine... Il ne faut cependant pas oublier que, dans l'Eglise orthodoxe russe, la préparation à la communion comprend non seulement la préparation intérieure, mais aussi la Règle (un jeûne strict de trois jours, une visite à l'Eglise pendant ces trois jours, des prières pour la communion, un jeûne eucharistique spécial après minuit) et la confession obligatoire. D'ailleurs, ces règles strictes, l'Eglise les voit non pas comme une obligation, mais comme l'application à soi-même d'une pratique qui s'est formée historiquement selon les traditions".

MGR.MOURAD SEVERIUS MALKE, du Patriarcat syro-orthodoxe. "Dans notre Eglise Syro-orthodoxe, nous célébrons la Divine liturgie en syro-araméen, la langue de Notre Seigneur Jésus; et durant la Divine liturgie, nous récitons exactement les mêmes mots que ceux prononcés par Jésus au Cénacle. Et le prêtre qui célèbre ce sacrement doit le faire seul. Je suis fier de vivre dans le monastère St.Marc dans la vieille ville, à Jérusalem, où Jésus a participé à sa Dernière Cène... La présence du Christ dans la Sainte Eucharistie ne se limite pas seulement à sa présence corporelle, Il est présent dans toute sa plénitude humaine et divine. Ainsi, le Seigneur Jésus est présent dans chacune des parties des deux éléments... Saint Paul Apôtre exhorte le croyant à se préparer spirituellement avant de recevoir la communion avec foi, respect et une conscience pure; il devrait purifier son corps et observer le jeûne de minuit précédant le rite de la communion. Il était de coutume, chez nous, de donner le sacrement de la Sainte Communion aux enfants tout de suite après avoir reçu le sacrement du Saint Baptême, le Chrisme".

MGR.MANOUG NAREG ALEMEZIAN, Responsable œcuménique de la Grande Maison de Cilicie (Arménie). "Le mot arménien utilisé pour indiquer la Sainte Eucharistie est 'Surp Patarag', qui veut dire Saint Sacrifice. Nous sommes au service de Dieu (liturgie) dans la vie liturgique de l'Eglise et nous offrons le sacrifice d'action de grâce (Eucharistie) pour les dons qu'Il nous a faits. La Sainte Eucharistie est axée sur le don sacrificiel de notre Sauveur et génère une communion d'amour avec Dieu et avec nos fidèles à travers la puissance de l'Esprit Saint... Dans l'Evaluation du rôle constructif des dialogues oecuméniques bilatéraux et multilatéraux et lors de la discussion sur le thème 'l'Eglise comme communion', je vous encourage à tous nous engagés dans l'étude de l'ecclésiologie eucharistique, qui place l'unité de l'Eglise dans la célébration locale de la Sainte Eucharistie présidée par l'Evêque en communion avec ses frères Evêques. A ce sujet, le rôle particulier de l'Evêque est indiqué comme celui qui prend soin du troupeau qui lui a été confié par le Bon Pasteur, l'assistant de la meilleure manière dans le partage eucharistique de l'unique pain et par la communion spirituelle et universelle dans le corps mystique du Christ".

SG.REV.JOHN HIND, Evêque anglican de Chichester (Grande-Bretagne). "Je vous transmets le meilleur souvenir de l'Archevêque de Canterbury et sa demande de prière pour les anglicans qui vivent actuellement un moment difficile... Quand est-il opportun de partager la communion? Comment doit-on interpréter la prise de communion en public du frère protestant Roger Schutz? L'Eucharistie n'est pas avant tout un thème, un rite ou un cérémonial mais un bénéfice de la nouvelle vie dans le Christ. Si nous devons être de vrais chrétiens, il doit y avoir des critères de reconnaissance réciproque. La capacité de tolérance des uns avec les autres n'est pas moins importante... Nous ne célébrons pas notre amitié dans l'Eucharistie mais plutôt notre réconciliation avec Dieu qui permet notre amitié... Si l'Eucharistie même est Mysterium Fidei, alors notre amitié ou communion dans l'Eglise est aussi un Mysterion, c'est à dire que nous parlons de quelque chose que nous ne pouvons pas comprendre avec la seule raison... Etre unis au Christ dans l'offrande de sa personne, nous permet de nous tourner non seulement vers Dieu mais aussi vers chacun et chacune de nos frères et soeurs, pour lesquels, dans leur merveilleuse diversité, le Fils de Dieu a donné sa vie".

LE CARDINAL GERALDO MAJELLA AGNELO, Archevêque de Saint Salvador de Bahia (Brésil). " Nous savons comment, dès les premiers siècles du christianisme, une attention spéciale a été accordée aux fidèles qui ne pouvaient pas participer à la célébration du sacrifice eucharistique, raison pour laquelle a été instituée la conservation de l'Eucharistie pour pouvoir répondre aux diverses motivations d'un tel empêchement... Je désire mettre en évidence la situation des malades, des prisonniers et des personnes âgées qui ont des difficultés à se déplacer de manière autonome. Je voudrais insister ici sur l'opportunité et la nécessité de préparer des fidèles laïcs à promouvoir la visite du prêtre pour la réconciliation sacramentelle et à continuer ensuite les soins pastoraux en portant la communion eucharistique. De nombreuses personnes se sentent seules aujourd'hui, n'ayant pas de parents proches, parce qu'elles sont laissées en permanence dans des établissements de soins de longue durée, ou en raison de limites de déambulation autonome, ce qui les oblige à garder le lit sans la possibilité de recevoir la visite des membres de leur famille ou d'amis, ou même rejetées parce que improductives. Dans un monde qui dispose d'autant de moyens de communication, très souvent, les personnes, même si elles ne sont pas malades, ont tendance à vivre dans l'isolement et le silence. Dans les moments de souffrance, cependant, elles éprouvent le besoin de rencontrer la manifestation de la bonté et de la miséricorde de Dieu. Aussi, Dieu a besoin de nos bras et de notre témoignage pour qu'elles puissent faire l'expérience de son amour".
SE/QUATORZIEME CONGREGATION/... VIS 20051012 (1300)

RELIGION, JUSTICE ET SOLIDARITE

CITE DU VATICAN, 12 OCT 2005 (VIS). Le psaume 121, qui est salut à la ville sainte de Jérusalem, a été le thème traité par Benoît XVI lors de l'Audience générale tenue ce matin Place-St.Pierre devant personnes.

Jérusalem, a dit le Pape, ville solide "symbole de sécurité et de stabilité, est le cœur des douze tribus d'Israël unies, qui voient en elle le centre de leur foi et de leur culte... Il y a à Jérusalem une autre importante réalité, signe elle-aussi de la présence de Dieu en Israël, la présence de la dynastie davidique, expression de l'action divine dans l'histoire".

"Ainsi, Jérusalem, capitale politique, est également le siège judiciaire suprême qui traite les causes en dernière instance. Sortant de Sion, les pèlerins juifs rentrent chez eux plus justes et pacifiés".

Le psaume trace un portrait idéal de la ville sainte étant donnée "sa fonction religieuse et sociale. Il montre que la religion biblique n'est ni abstraite ni intimiste, mais un ferment de justice et de solidarité. La communion avec Dieu implique nécessairement celle des frères entre-eux".

Puis Benoît XVI a noté que l'invocation finale contient le mot Shalom, qui rappelle la paix messianique, porteuse de joie, de prospérité, de bien et d'abondance... Ce salut préfigure celui de François, Pax et Bonus".

Enfin, le Saint-Père a rappelé que dans ses homélies sur Ezéchiel, saint Grégoire le Grand écrit que la Cité Sainte a été "en grande partie bâtie selon l'esprit des saints. Dans un édifice chaque pierre soutient et est soutenue par les autres... . Il en va de même pour l'Eglise où chacun soutient et est soutenu".

On ne saurait oublier, a-t-il conclu, "qu'une fondation supporte le poids de tout l'édifice, en l'occurrence notre Rédempteur...dont l'Apôtre dit: 'personne ne peut mettre en place une fondation autre que celle existante, qui est Jésus-Christ".

A la conclusion de l'Audience, le Saint-Père a salué Mgr.Edmond Farhat, Nonce apostolique en Autriche.
AG/PSAUME 121/... VIS 20051012 (330)

QUINZIEME CONGREGATION GENERALE

CITE DU VATICAN, 12 OCT 2005 (VIS). Ce matin, la XV Congrégation générale de la XI assemblée générale ordinaire du Synode des Evêques s'est ouverte sous la présidence du Cardinal Telesphore Placidus Toppo (présents 242 Pères synodaux).

Voici des extraits de certaines interventions:

MGR. OSWALD THOMAS COLMAN GOMIS, Archevêque de Colombo (Sri Lanka). "Nous devons offrir un témoignage visible de notre foi dans le Seigneur eucharistique. Cela doit être fait plus par l'action que par les mots. Plusieurs fois on a parlé des nombreux abus et aberrations de la célébration de l'Eucharistie et de l'évident manque de respect pour le Saint Sacrement... On a parlé du laïcisme et du relativisme. C'est dommage qu'ils s'insinuent même en Asie. Pour respecter les normes liturgiques communes, nous devons faire une étude approfondie des modèles culturels des différents fidèles et les intégrer dans notre liturgie. Les modèles culturels varient de continent à continent et souvent de pays à pays. Les liturgistes devront donc étudier ces modèles dans les respectives zones et intégrer dans l'adoration de l'Eucharistie les formes de majeure adoration'... Pour conclure, nous avons aujourd'hui le grave problème du fondamentalisme chrétien qui influence notre foi dans l'Eucharistie. Le Synode doit prendre en examen ce danger. Si non cela serait comme planter un bel arbre -notre foi dans l'Eucharistie- alors qu'un dangereux virus l'attaque".

MGR. ANGEL FLORO MARTÍNEZ, IEME, Evêque de Gokwe (Zimbabwe). "Je voudrais vous soumettre ici les principaux défis que nos fidèles affrontent, non seulement de nature théologique mais aussi de nature pastorale. La première difficulté concerne l'accès à l'Eucharistie pour de nombreux catholiques. Le manque de prêtres et le fait que nos fidèles soient dispersés dans un immense espace rural font qu'ils ne peuvent assister à l'Eucharistie que quelques fois par mois. Cela remet en question la centralité de l'Eucharistie dans la vie de nos catholiques. Peut-on appeler communautés eucharistiques les communautés rurales qui se fondent essentiellement sur la célébration de la Parole? C'est un problème intéressant dont on pourrait parler dans les groupes linguistiques. La deuxième difficulté concerne l'Eucharistie et le mariage. Plus précisément la ZCBC a publié cette année sur cet argument, une seconde Lettre pastorale sur l'Eucharistie, demandant aux fidèles d'apprécier l'importance de l'Eucharistie et sa profonde relation avec la dignité du sacrement de mariage, les encourageant a régulariser leur situation. De nombreux catholiques, qui dans leur jeunesse s'approchaient de l'Eucharistie, ne le font plus dans leur vie adulte à cause de mariages irréguliers".

LE CARDINAL GEORGE PELL, Archevêque de Sydney (Australie). "De nombreux Pères synodaux ont parlé des difficultés rencontrées par l'Eglise de part le monde. Certaines découlent de nos erreurs. Le Concile Vatican II a porté de grandes bénédictions et des progrès substantiels, par exemple la progression des missions, des nouveaux mouvements et de nouvelles communautés. Mais il a également été suivi de confusion, d'un certain déclin, surtout en Occident, et d'échecs. Les bonnes intentions ne suffisent pas... Mes suggestions pour ce Synode sur comment affronter ces 'ombres' sous-entend conserver l'Eglise latine d'antique tradition et la discipline du célibat obligatoire pour le clerc diocésain comme pour les ordres religieux. Perdre une telle tradition maintenant, serait une grave erreur qui générerait confusion dans les zones de mission et qui ne renforcerait pas la vitalité spirituelle du Premier monde. Cela représenterait un éloignement de la pratique du Seigneur même, cela nuirait gravement à l'action de l'Eglise -sur le plan financier- et affaiblirait la valeur du 'signe' du sacerdoce; cela affaiblirait également le témoignage du sacrifice d'amour et à la réalité des Dernières choses et à la récompense du ciel... Les services eucharistiques ou la liturgie de la Parole ne devraient pas être remplacés par des Messes quand les prêtres sont disponibles. Souvent ces inutiles substitutions ne sont pas motivées par la faim du Pain de Vie, mais par l'ignorance et la confusion, si non par l'hostilité au ministère sacerdotal et aux sacrements".

MGR. LUIGI PADOVESE, OFM CAP, Evêque titulaire de Monteverde, Vicaire apostolique d'Anatolie (Turquie). "Je parle en tant qu'évêque de l'Eglise d'Anatolie qui a vu la première grande expansion du message de Jésus et dans laquelle les chrétiens ne sont plus que quelques milliers. Dans la ville de Tarso, patrie de l'apôtre Paul, les seuls chrétiens restés sont trois sœurs qui accueillent les pèlerins, qui pour pouvoir célébrer l'Eucharistie dans l'unique église-musée restée, doivent obtenir une autorisation. C'est la même chose pour l'église de saint Pierre d'Antioche. Dans cette ville, est né saint Jean Chrysostome, dont on fêtera en 2007 le seizième centenaire de sa mort en exil. Justement saint Jean Chrysostome prêchait dans ses homélies que l'Eucharistie était et est le lieu privilégié de la parésie. Son souvenir, comme celui plus récent des évêques comme Mgr. Clemens von Galen et Mgr. Oscar Romero, est un témoignage vivant du lien entre le mémorial du sacrifice de Jésus et ceux qui ont trouvé les raisons et la force d'annoncer l'Evangile avec intelligence, courage et sans réticence".

F. ALVARO RODRÍGUEZ ECHEVARRÍA, FSC, Président de l'Union des Supérieurs généraux (Costa Rica). "L'Instrumentum Laboris du Synode met en évidence l'espoir que l'Eglise met dans ses jeunes. Les jeunes d'aujourd'hui, vivant dans une culture mondialisée, caractérisé par d'incessants changements d'objectifs, et dans une société suffoquée par tant d'incertitudes économiques et par l'exaltation de la violence, trouvent difficilement des points de repères pour vivre leur vie en donnant un sens, une direction et un but à leur rêves de jeunesse. Aujourd'hui, plus que jamais, nous avons besoin de combler cette soif et cette faim qu'éprouvent ces jeunes à la recherche d'une expérience mystique d'union avec Jésus. C'est certainement une force qui attire les jeunes du monde actuel... Buvant l'eau qui jaillit de la rencontre avec le Christ, ils trouvent également la force de découvrir dans le monde leur frères et leurs sœurs crucifiés, ceux qui souffrent l'oppression des guerres, de la violence, de la faim. Ceux qui n'ont pas d'avenir. De cette source et de ce sommet ils ressortent illuminés d'une nouvelle passion et remplis de la force de la grâce pour participer à la mission de l'Eglise dans la société et dans le monde... L'Eucharistie est également le sommet vers lequel toutes les actions se dirigent. Ainsi, l'Eucharistie n'est pas détachée des préoccupations sociales et politiques vécues par le disciple de Jésus au milieu des hommes et des femmes de ce monde, spécialement parmi les pauvres".

M. MOYSES LAURO DE AZEVEDO FILHO, Fondateur et modérateur général de la communauté catholique Shalom (Brésil). "Un des fruits les plus importants de l'Eucharistie que nous devons cultiver est la 'parésie'...qui dans le nouveau testament prend le sens d'audace dans l'annonce du Christ. Pendant le carnaval, au Brésil, les jeunes sont exposés à de graves dangers. La communauté catholique Shalom a alors organisé...un moment d'adoration du Saint Sacrement. C'était très impressionnant de voir ce que tant retenaient impossible: cent mille jeunes en profond silence priant devant la présence réelle de Jésus dans l'Eucharistie. C'était le prélude à Cologne. Il était encore plus impressionnant de constater les fruits des actions de ce genre, de nombreuses conversions, de nombreuses confessions, l'engagement au sein de l'Eglise avec un retour dans la participation à la Messe, le réveil des vocations sacerdotales et l'amour au service des pauvres. Nous avons découvert que la meilleurs réponse au défi de la sécularisation est de présenter le Christ avec audace!".
SE/QUINZIEME CONGREGATION/... VIS 20051012 (1230)

AUDIENCE

Le Saint-Père a reçu ce matin en audience privée Mgr. Edmond Farhat, Nonce apostolique en Autriche.
AP/.../... VIS 20051012 (20)
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