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Le Vatican Information Service (VIS) est un service d'information de la Salle-de-Presse du Saint-Siège. Il propose des informations sur le Magistère et l'activité pastorale du Saint-Père et de la Curie Romaine... []

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lundi 26 janvier 2015

Tous au service du même Evangile


Ci du Vatican, 25 janvier 2015 (VIS). La Semaine de prière pour l'unité des chrétiens s'est conclue hier soir, en la solennité de la conversion de saint Paul, par la célébration des deuxièmes vêpres en la basilique romaine St.Paul-hors-les-murs. Comme de coutume, des représentants d'autres Eglises et communautés ecclésiales présentes à Rome ont pris part à la cérémonie présidée par le Pape à 17 h 30'. Voici l'homélie du Pape François:

"En voyage de la Judée vers la Galilée, Jésus traverse la Samarie. Il n’a pas de difficulté à rencontrer les samaritains jugés hérétiques, schismatiques, séparés des juifs. Son attitude nous dit que la confrontation avec celui qui est différent de nous peut nous faire grandir. Fatigué par le voyage, il n’hésite pas à demander à boire à une samaritaine. Cependant, sa soif va bien au-delà de la soif physique car elle est aussi soif de rencontre, désir d’ouvrir un dialogue en offrant à cette personne la possibilité d’un chemin de conversion intérieure. Jésus est patient, il respecte la personne qui est devant lui, il se révèle à elle progressivement. Son exemple encourage à chercher une confrontation sereine avec l’autre. Pour se comprendre et grandir dans la charité et dans la vérité, il faut s’arrêter, s’accueillir et s’écouter. De cette manière, on commence déjà à expérimenter l’unité qui se bâtit en marchant. La femme de Sykar interroge Jésus sur le véritable lieu de l’adoration de Dieu. Jésus ne prend pas position en faveur de la montagne ou du temple, mais il va à l’essentiel, faisant tomber chaque mur de séparation. Il renvoie à la vérité de l’adoration: Dieu est Esprit, et ceux qui l’adorent, c’est en esprit et vérité qu’ils doivent l’adorer. Beaucoup de controverses entre chrétiens, héritées du passé, peuvent être dépassées en mettant de côté polémique ou apologétique, en cherchant ensemble à accueillir en profondeur ce qui nous unit, c’est à dire l’appel à participer au mystère d’amour du Père révélé à nous par le Fils dans l’Esprit. L’unité des chrétiens ne sera pas le fruit des discussions théoriques raffinées dans lesquelles chacun tentera de convaincre l’autre du bien-fondé de ses propres opinions. Lorsque viendra le Fils de l'Homme, nous trouvera-t-il encore en discussion. Nous devons reconnaître que pour parvenir à la profondeur du mystère de Dieu, nous avons besoin les uns des autres, de nous rencontrer et de nous confronter sous la conduite de l’Esprit, qui harmonise et réconcilie les diversités et dépasse les conflits.

Progressivement, la samaritaine comprend que celui qui lui a demandé à boire est à même de la désaltérer. Jésus se présente à elle comme la source d’où jaillit l’eau vive qui étanche pour toujours sa soif. L’existence humaine révèle des aspirations profondes, comme la recherche de vérité, la soif d’amour, de justice et de liberté. Ce sont des désirs satisfaits seulement en partie, parce que du fond de son être, l’homme se meut vers un plus, un absolu capable d’étancher sa soif de façon définitive. La réponse à ces aspirations est donnée par Dieu en Jésus-Christ, dans son mystère pascal. Du côté transpercé de Jésus ont jailli du sang et de l’eau. Il est de fait la source d’où jaillit l’eau de l’Esprit, c’est-à-dire l’amour de Dieu répandu dans nos cœurs au jour du baptême. Par l’œuvre de l’Esprit nous sommes devenus uns avec le Christ, fils dans le Fils, vrais adorateurs du Père. Ce mystère d’amour est la raison la plus profonde de l’unité qui relie tous les chrétiens et qui est beaucoup plus grande que les divisions survenues au cours de l’histoire. Pour ce motif, dans la mesure où nous nous approchons avec humilité du Seigneur Jésus Christ, nous nous rapprochons aussi entre nous.

La rencontre avec Jésus transforme la samaritaine en une missionnaire. Ayant reçu un don plus grand et plus important que l’eau du puits, la femme laisse là sa cruche et elle court raconter à ses compatriotes qu’elle a rencontré le Christ. La rencontre avec lui lui a rendu le sens et la joie de vivre, et elle sent le désir de le communiquer. Aujourd’hui, il existe une multitude d’hommes et de femmes fatigués et assoiffés, qui nous demandent, à nous chrétiens, de leur donner à boire. C’est une demande à laquelle on ne peut se soustraire. Dans l’appel à être des évangélisateurs, toutes les Eglises et communautés ecclésiales trouvent un cadre essentiel pour une collaboration plus étroite. Pour pouvoir remplir efficacement une telle tâche, il faut éviter de se renfermer dans ses propres particularismes et exclusivismes, comme aussi d’imposer une uniformité selon des plans purement humains. L’engagement commun à annoncer l’Evangile permet de dépasser toute forme de prosélytisme et la tentation de compétition. Nous sommes tous au service de l’unique et même Evangile! En ce moment de prière pour l'unité nous devons nous souvenir de nos martyrs présents. Ils témoignent du Seigneur et sont persécutés voire tués en tant que chrétiens, et sans que leurs bourreaux fasse une distinction de confession. Ils sont agressés car chrétiens. Avec ces frères et ces soeurs, nous avons l'oecuménisme du sang".


Saluant ensuite les diverses autorités oecuméniques, ainsi que les membres de la Commission mixte pour le dialogue théologique entre l’Eglise catholique et les Églises orthodoxes orientales, il a souhaité à tous un travail fructueux: "Je salue aussi les étudiants de l’Ecumenical Institute of Bossey et les jeunes qui bénéficient de bourses d’étude offertes par le Comité de collaboration culturelle avec les Eglises orthodoxes près le Conseil pour l’unité. Puis il s'est adressé aux religieux et religieuses des différentes Eglises et communautés ecclésiales, qui venaient de participer à un Colloque œcuménique, organisé par la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique et le Conseil pontifical pour l’unité des chrétiens, à l’occasion de l’Année de la vie consacrée: "La vie religieuse comme prophétie du monde à venir est appelée à offrir en notre temps, le témoignage de cette communion dans le Christ qui va au-delà de chaque différence, et qui est faite de choix concrets d’accueil et de dialogue. Et donc, la recherche de l’unité des chrétiens ne peut être l’apanage seulement de quelques personnes ou communautés religieuses particulièrement sensibles à cette problématique. La connaissance réciproque des différentes traditions de vie consacrée et un échange fécond d’expériences peut être utile pour la vitalité de chaque forme de vie religieuse dans les diverses Eglises et communautés ecclésiales. Nous qui sommes assoiffés de paix et de fraternité, invoquons avec un cœur confiant le Père céleste, par Jésus-Christ l’unique prêtre et par l’intercession de la Vierge Marie, de l’apôtre Paul et de tous les saints, le don de la pleine communion de tous les chrétiens, afin que puisse resplendir le mystère sacré de l’unité de l’Eglise".

Dieu aussi a soif de nous


Cité du Vatican, 25 janvier 2015 (VIS). Avant de réciter l'angélus dominical avec les fidèles réunis Place St.Pierre, le Pape a commenté l'Evangile du jour qui décrit le début de la prédication de Jésus, immédiatement après l'arrestation de Jean-Baptiste: "L'annonce de Jésus est semblable à celle de Jean, avec la différence substantielle que Jésus n'indique plus un autre qui doit venir. C'est Jésus l'accomplissement des promesses, c'est lui la Bonne Nouvelle à croire, à accueillir et à communiquer aux hommes et femmes de tous les temps, afin qu'eux aussi lui confient leur existence. Jésus-Christ en personne est la Parole vivante et opérante dans l'histoire. Qui l'écoute et le suit entre dans le Royaume de Dieu. Jésus est l'accomplissement des promesses divines parce qu'il est celui qui donne à l'homme l'Esprit Saint, l'eau vive qui désaltère notre cœur inquiet, assoiffé de vie, d'amour, de liberté, de paix, assoiffé de Dieu", a expliqué le Saint-Père qui a ensuite rappelé que les paroles du Christ à la samaritaine, Donne moi à boire, ont été cette année le thème de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens qui se conclut ce soir avec les secondes vêpres dans la basilique romaine St.Paul-hors-les-murs, "pour prier intensément le Seigneur afin qu'il renforce notre engagement pour la pleine unité de tous les chrétiens. Il est mauvais que les chrétiens soient divisés!... Jésus nous veut unis, un seul corps. Nos péchés, l'histoire, nous ont divisés et c'est pourquoi nous devons beaucoup prier afin que l'Esprit nous unisse de nouveau. En se faisant homme, le Christ a fait sienne notre soif, non seulement d'eau matérielle, mais surtout la soif d'une vie pleine, d'une vie libérée de l'esclavage du mal et de la mort. Par son incarnation aussi Dieu a mis sa soif, parce que Dieu aussi a soif, dans le cœur d'un homme, Jésus de Nazareth. Dieu a soif de nous, de nos cœurs, de notre amour, et a mis cette soif dans le cœur de Jésus. Donc, dans le cœur de Jésus se rencontrent la soif humaine et la soif divine. Le désir de l'unité de ses disciples appartient à cette soif... Que cette soif de Jésus devienne toujours plus aussi notre soif! Continuons donc à prier et à nous engager pour la pleine unité des disciples du Christ, certains qu'il est à nos côtés et nous soutient avec la force de son Esprit afin que cet objectif se rapproche".

Appel à la fin des violences en Ukraine


Cité du Vatican, 25 janvier 2015 (VIS). Après la prière mariale, le Saint-Père a exprimé sa grande préoccupation face aux nouveaux affrontements qui ensanglantent l'est de l'Ukraine, et cause de nombreuses victimes civiles. Priant pour tous ceux qui souffrent de cette situation, il a lancé un nouvel appel à la cessation des violences et à la reprise du dialogue. Puis comme chaque année en conclusion de la Caravane de la paix, deux enfants de l'Action catholique de Rome se sont présentés à la fenêtre aux côtés du Pape. Ayant lu un message de paix, ils ont opéré un lancer de ballons. Ensuite, le Saint-Père a rappelé qu'en cette Journée mondiale contre la lèpre, il fallait se souvenir d'être solidaires des malades et de tous ceux qui leur viennent en aide. Il a notamment encouragé les personnes qui participent à la lutte contre une maladie qui affecte la dignité de l'homme. Son dernier salut a été pour la communauté catholique philippine de Rome, venu le remercier de sa récente visite aux Philippines: "La foi et la joie de ce peuple sont vraiment merveilleuses. Que le Seigneur vous soutienne, vous aussi qui vivez loin du pays. Merci de votre beau témoignage et de tout le bien que vous faîtes ici, en semant la foi parmi nous". 

Accepter les différences pour lutter contre la violence


Cité du Vatican, 24 janvier 2015 (VIS). "Ces dernières années, malgré quelques incompréhensions et difficultés, des avancées ont été faites dans le dialogue inter-religieux, aussi avec les musulmans. C'est pourquoi, l'exercice de l'écoute est essentiel. Ce n'est pas seulement une condition nécessaire dans un processus de compréhension réciproque et de coexistence pacifique, mais c'est aussi un devoir pédagogique afin d'être capables de reconnaître les valeurs des autres, de comprendre les préoccupations sous-jacentes à leurs demandes et de faire ressortir les convictions communes". Voici ce qu'a dit le Pape ce matin lors de l'audience aux participants à la rencontre organisée par l'Institut pontifical des études arabes et islamiques, à l'occasion du cinquantième anniversaire de son ouverture. La rencontre s'est déroulée à l'Université pontificale urbanienne (22 - 24 janvier: Etudier et comprendre la religion des autres).

Le Pape a souligné la nécessité d'une formation adéquate, "pour que, solides dans notre identité, on puisse grandir dans la connaissance réciproque. Il faut faire attention à ne pas tomber dans le piège d'un syncrétisme conciliant mais en somme vide et porteur d'un totalitarisme sans valeurs. Une approche facile et conciliante qui dit oui à tout pour éviter les problèmes, finit par être une façon de tromper l'autre et de lui nier le bien qu'on a reçu comme un don à partager généreusement. Cela nous incite, en premier lieu, à revenir aux fondements... Au début du dialogue, il y a donc la rencontre. De celle-ci naît la première connaissance de l'autre. Si l'on part, en effet, du présupposé d'une appartenance commune à la nature humaine, on peut dépasser les préjugés et la fausseté, et on peut commencer à comprendre l'autre dans une perspective nouvelle". Puis il a rappelé qu'on n'a jamais eu autant besoin qu'aujourd'hui d'une institution consacrée expressément à la recherche et à la formation d'un dialogue avec les musulmans, parce que "l'antidote le plus efficace contre toute forme de violence est l'éducation à la découverte et à l'acceptation de la différence comme richesse et fécondité. Cette tâche n'est pas simple, mais elle naît et mûrit à partir d'un fort sens de responsabilité. Le dialogue islamo-chrétien, en particulier, exige que patience et humilité accompagnent une étude approfondie, parce que l'approximation et l'improvisation peuvent être contre-productifs, voire, causes de gêne et d'embarras. Un engagement durable et continu est nécessaire afin de ne pas se laisser prendre au dépourvu face aux différentes situations. Une préparation spécifique est donc nécessaire, qui ne se limite pas à une analyse sociologique, mais qui ait les caractéristiques d'un cheminement entre des personnes appartenant à des religions qui, de façon différente, se réfèrent à la paternité spirituelle d'Abraham. La culture et l'éducation ne sont pas du tout secondaires dans un vrai processus de rapprochement vers l'autre qui respecte en chacun sa vie, son intégrité physique, sa dignité et les droits qui en dérivent, sa réputation, sa propriété, son identité ethnique et culturelle, ses idées et ses choix politiques".


En conclusion, le Saint-Père a souhaité que cet institut, qu'il a qualifié d'instrument précieux, "devienne toujours plus une référence dans la formation des chrétiens qui œuvrent pour le dialogue inter-religieux...et qu'il puisse instaurer une collaboration fructueuse avec les autres athénées pontificaux". Son premier devoir reste "l'écoute et un dialogue fondé sur une identité claire, sur la recherche passionnée, patiente et rigoureuse de la vérité et de la beauté, versées par le Créateur dans le cœur de chaque homme et femme et réellement visibles dans toute véritable expression religieuse".

L'unité peut se réaliser si nous marchons ensemble


Cité du Vatican, 24 janvier 2015 (VIS). Le Pape a rencontré en milieu de journée les participants à un colloque œcuménique de religieux et religieuses, organisé par la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique, à l'occasion de l'Année de la vie consacrée. Il a souligné l'importance que cette rencontre se déroule en conclusion de la semaine de prière pour l'unité des chrétiens: "Chaque année celle-ci nous rappelle que l'œcuménisme spirituel est l'âme du mouvement œcuménique". Poursuivant sur ce sujet, il a partagé quelques réflexions sur l'importance de la vie consacrée pour l'unité des chrétiens: "La volonté de rétablir l'unité de tous les chrétiens est naturellement présente dans toutes les Eglises et concerne le clergé autant que les laïcs. Mais la vie religieuse qui prend racine dans la volonté du Christ et dans la tradition commune de l'Eglise indivise, a sans doute une vocation particulière dans la promotion de cette unité... La recherche de l'union avec Dieu et de l'unité à l'intérieur de la communauté fraternelle appartient à la vie religieuse, et réalise ainsi de façon exemplaire la prière du Seigneur pour que tous ne soient qu'un. La vie religieuse nous montre précisément que cette unité n'est pas le fruit de nos efforts mais un don de l'Esprit Saint qui réalise l'unité dans la diversité. Celle-ci nous révèle aussi que cette unité ne peut se faire que si nous marchons ensemble, si nous parcourons la route de la fraternité dans l'amour, dans le service, dans l'accueil réciproque". Puis il a souligné qu'il ne peut y avoir d'unité sans conversion, sans prière et sans sainteté de vie. Il a ajouté que "la vie religieuse nous rappelle qu'au centre de toute recherche d'unité et donc de tout effort œcuménique, il y a avant tout la conversion du cœur qui comporte la demande et la concession du pardon", et que "l'engagement œcuménique répond, en premier lieu, à la prière du Seigneur Jésus et se base essentiellement sur la prière... La vie religieuse nous aide à prendre conscience de l'appel adressé à tous les baptisés, un appel à la sainteté de vie qui est l'unique vrai chemin vers l'unité". Enfin, il a remercié ses hôtes de leur témoignage de l'Evangile par leur vie et du service qu'ils offrent à la cause de l'unité. 

Symposium sur Dignitas Connubii


Cité du Vatican, 24 janvier 2015 (VIS). Le Pape François a reçu les participants au symposium organisé pour le dixième anniversaire de l'instruction Dignitas Connubii par l'Université pontificale Grégorienne, le Conseil pontifical pour les textes législatifs et l'Association internationale de droit canonique. La forte participation à ces assises, a-t-il dit à ses hôtes, montre l'importance d'un document qui ne s'adresse pas qu'aux juristes, mais à l'ensemble des juges ecclésiastiques. Ce vade-mecum a permis d’accélérer et d'améliorer les procès, de rendre clair le but du procès. Ainsi "la connaissance et l'usage de cette instruction peut continuer à aider les juges à abréger les procédures, souvent perçues par les époux comme longues et pénibles. On n'a pas encore exploité toutes les ressources de ce document en vue de conduire des procès courts et exempts de formalismes gratuits. Ceci dit, on ne peut exclure de nouvelles interventions allant dans le même sens". Puis il a souligné combien la fonction de défenseur du lien matrimonial est importante, car son rôle précis, loin de conditionner le juge, "doit favoriser l'impartialité du jugement au moyen d'arguments en faveur ou contraires à la déclaration de nullité".  

Audiences


Cité du Vatican, 26 janvier 2015 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce matin:

Le Cardinal Lluís Martínez Sistach, Archevêque de Barcelone (Espagne).

Mgr.Gastone Simoni (Italie).

Mgr.Francesco Miccichè (Italie).

Le P.Alejandro Moral Antón, Prieur Général des Augustiniens.

Samedi dernier, 24 janvier, il avait reçu:

Le Cardinal Marc Ouellet, PSS, Préfet de la Congrégation pour les évêques.

Le Cardinal Angelo Bagnasco, Archevêque de Gênes et Président de la Conférence épiscopale italienne.


Mme.María de los Angeles Marechal, Coprésidente de la Fundación Leopoldo Marechal (Argentine).

Autres actes pontificaux


Cité du Vatican, 26 janvier 2015 (VIS). Le Saint-Père a:

Nommé Mgr.Stefan Hesse, Archevêque de Hambourg (superficie 1.119, population 40.447, catholiques 35.499, prêtres 79, religieux 110), en Allemagne. L'Evêque élu, né en 1966 à Cologne (Allemagne) et ordonné prêtre en 1993, était jusqu'ici Vicaire Général de ce même diocèse. Docteur en théologie, il a occupé diverses fonctions à l'archevêché de Cologne, dont il a été l'Administrateur de mars à septembre 2014.

Rétabli l'Eglise métropolitaine de Cashel and Emly (Irlande), par union du diocèse de Cashel à celui de l'antique diocèse d'Emly. La circonscription ecclésiastique possède les mêmes caractéristiques que l'actuel diocèse de Cashel.

Nommé Mgr.Kieran O'Reilly, Archevêque métropolitain de Cashel and Emly (Irlande), jusqu'ici Archevêque métropolitain de Cashel et Administrateur apostolique d'Emly.

Samedi dernier, 24 janvier, il avait nommé le P.Ivica Petanjak, OFM.Cap, Evêque de Krk (superficie 1.119, population 40.447, catholiques 35.499, prêtres 79, religieux 110), en Croatie. L'Evêque élu, né en 1963 à Drenje (Croatie), a prononcé ses voeux religieux en 1988 et a été ordonné prêtre en 1990. Jusqu'ici supérieur du monastère capucin d'Osijek (Croatie), il succède à Mgr.Valter Zupan, dont la renonciation a été acceptée pour limite d'âge. Docteur en histoire de l'Eglise, il a été curé de paroisse et a occupé plusieurs responsabilités au sein de son ordre.



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